Exposition en cours

À propos de Stéphanie Cassilde

installée à Charleroi, Belgique, depuis 2013
Chercheuse
Art-thérapeute
Danseuse, artiste

Chercheuse (économiste du développement et sociologue) de profession, le questionnement à la fois informe et est au centre de mon processus créatif tant en danse que pour les autres media : la photographie, les arts graphiques, les arts plastiques. Le contexte de Charleroi fut particulièrement propice à l’éclosion, la mise en acte de plusieurs actes créatifs. Je participe depuis 2014 aux ateliers de Tak Tak asbl (puis Charleroi danse) animé par Peggy Francart.

En retour, tout ceci informe mes recherches qui portent sur la compréhension des préférences, des comportements, des processus de catégorisation, du rapport aux espaces symboliques et matériels ; je travaille sur des thématiques tant de construction identitaire (personnelle et professionnelle, et à application professionnelle) que sur le logement / l’absence de logement, et le langage.

Les œuvres photographiques présentées ici font partie de la série « Migration » et interrogent chacune le déplacement d’une ou plusieurs personnes / vies / entités, d’un espace / univers à l’autre. Allons-nous où nous imaginons aller ? Et les autres autour de nous ? Le repos ou la mort sont-ils plus immobiles que la reproduction de nos habitudes, ailleurs ? Quel est notre espace ?
L’appariement des photographies a bénéficié du regard extérieur et bienveillant de Laurence Vits.
L’un des diptyques fait partie de la série transversale des œuvres transitionnelles de deuil.

Ceci est ma première exposition : mes plus vifs remerciements à Anne Genard !